Questions

Dès que l’on est en âge de célébrer avec des mots. Il n’est pas nécessaire de savoir écrire. Nous sommes dans le domaine de l’oralité. Et il est tout à fait possible de célébrer en dansant, en mimant…

A tout le monde. Il n’y a pas plus inclusif. Il suffit d’avoir l’intention de faire plaisir, de remercier, de célébrer. Et donner le meilleur de soi pour le faire : en déclamant, en chantant, en mimant, en dansant. Nous sommes toutes et tous poètes à notre façon. Et cette singularité partagée fait partie de la réjouissance.

C’est un bel atout, mais certainement pas une obligation, puisque le kasàlà peut prendre des formes variées. Il peut se chanter, se danser, se mimer. C’est une offrande portée par une intention de célébrer, et par la singularité de la personne qui l’offre. Il n’y a pas de limite à la créativité.

Non. Nous parlons de « chant » en référence aux origines traditionnelles du kasàlà qui s’accompagne le plus souvent d’instruments (djembés…). Le kasàlà contemporain en a gardé le rythme, car c’est une parole incarnée, qui entraîne l’autre dans la danse des mots. La déclamation invite à une certaine musicalité du fait de ce rythme. Mais chacun donne le sien.

À garantir que les standards du kasàlà sont respectés. Ces standards consistent en une parole de célébration. Célébration qui s’exprime par des « noms de force » et des figures de style supports de l’amplification. Une parole qui relie à sa lignée, à son territoire, aux êtres qui nous renforcent. Une parole produisant de la joie, de l’émerveillement, et la conscience d’appartenir au règne du vivant, d’y avoir sa place… et sa responsabilité.

Oui. Le niveau « s’initier au kasàlà contemporain » est dédié à la pratique et à l’animation d’ateliers dans un contexte récréatif. Une fois initié.e, vous pouvez également venir chercher l’inspiration dans les modules du niveau « animer un atelier de kasàlà contemporain » en y choisissant les thèmes qui vous plaisent, sans viser la certification.

Non, le niveau « s’initier au kasàlà contemporain » en ligne est ouvert sans autre condition que de savoir lire et écrire. Mais d’autres initiations peuvent avoir lieu en présentiel pour des publics dédiés tels que des enfants ne sachant pas encore lire ni écrire, ou des personnes dont le français ne serait pas parfaitement maîtrisé (dans le cas d’une langue maternelle étrangère par exemple). Pour toute situation particulière, n’hésitez pas à nous contacter via l’adresse . Nous envisagerons ensemble la meilleure possibilité.

À célébrer votre entourage : votre famille, vos amis. Écrire des kasàlàs pour une personne de sa famille est souvent l’occasion de collecter des informations précieuses pour la famille entière. C’est un cadeau très apprécié.

Vous pouvez aussi éprouver du plaisir en travaillant votre style, en découvrant votre capacité à déclamer dans un petit cercle, en prenant de l’assurance, en prenant votre place parmi les vôtres.

Enfin vous pouvez proposer d’amener le kasàlà dans d’autres cercles comme les maisons de retraite par exemple.

Il n’y a pas de programmation arrêtée. Mais cela est tout à fait envisageable dès qu’un groupe suffisant est constitué. Si vous êtes un petit groupe désirant rejoindre la joyeuse communauté des kasàleuses et kasàleurs, faites-vous connaître en nous écrivant à .

Il n’y a pas de programmation arrêtée. Mais cela est tout à fait envisageable dès qu’un groupe suffisant est constitué. Si vous êtes un petit groupe désirant rejoindre la joyeuse communauté des kasàleuses et kasàleurs, faites-vous connaître en nous écrivant à .

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Le kasàlà contemporain est inclusif. Ouvert à toutes et tous et très rapidement accessible, il permet de :

• créer des liens authentiques entre les personnes ;
• inclure facilement un ou plusieurs nouveaux collaborateurs dans une équipe ;
• fédérer une équipe autour d’un nouveau projet en identifiant les forces dont chaque membre est porteur ;
• célébrer les réussites ;
• célébrer tous les événements, personnels et professionnels, en maintenant le collectif et la convivialité ;
• définir avec poésie la mission d’une entité, d’une entreprise, en suscitant l’engagement maximum ;
• ouvrir un espace d’expression constructive et positive ;
• renforcer la confiance en soi et l’estime de soi parmi les autres ;
• développer la créativité.

Oui, indéniablement. Bien que le kasàlà soit un art et non une thérapie, sa pratique produit des effets sur l’estime de soi, sur la confiance en soi. Elle permet de prendre sa place, tout en accueillant l’autre sans crainte, en considérant ce que chacune et chacun apporte à l’ensemble.

Non

Non

Le kasàlà est une approche narrative à part entière puisqu’il amène à se raconter de façon singulière et poétique. Cette singularité permet de se détacher des histoires qui nous enferment et nous blessent. Le kasàlà invite à se relier à ce que l’on pourrait appeler un « club de vie ». Autrement dit de façon valorisante, en se renforçant. On dit que le kasàlà « appelle à l’existence ». Il permet de prendre sa place et de se situer au sein de la communauté, de l’humanité, du vivant. Sans écraser l’autre puisque le kasàlà est un véhicule de l’Ubuntu : art d’être humain, philosophie africaine sur laquelle s’est appuyé Nelson Mandela pour oeuvrer à la réconciliation de l’Afrique du Sud.

Évidemment le kasàlà peut constituer une « documentation poétique » de choix. Mais son rôle peut être bien plus vaste. Il existe de nombreuses proximités entre la posture Ubuntu et la posture « influente et décentrée » des pratiques narratives. La fécondité du rapprochement entre kasàlà et pratiques narratives sera à la mesure de la créativité et de l’audace du praticien. Une créativité soutenue par un art de la parole traditionnel, poli par des siècles de célébrations.

Oui, le kasàlà contemporain répond parfaitement à l’exercice de la documentation poétique. Mais il peut être beaucoup plus que cela. Il existe de nombreuses proximités entre la posture Ubuntu et la posture « influente et décentrée » des pratiques narratives. La fécondité du rapprochement entre kasàlà et pratiques narratives sera à la mesure de la créativité et de l’audace du praticien. Une créativité soutenue par un art de la parole traditionnel, poli par des siècles de célébrations, de chants, d’exhortations.

Le Kasàlà contemporain célèbre notamment le lien. Lien au vivant, lien au passé, à sa lignée, à son territoire. Lien aux qualités de celles et ceux qui nous entourent, y compris lorsque la relation n’est pas amicale. Il exige alors d’accorder, le temps du poème, un regard attentif à ce qui est digne d’être célébré chez l’autre. Changeant le plus souvent la relation qui intègre cette nouvelle vision.

Certainement, dans la qualité du regard et dans l’encouragement à la gratitude. Le kasàlà implique cette posture de gratitude, et transforme peu à peu notre aptitude à regarder le positif. Une transformation de soi qui produit des effets bénéfiques sur la façon dont on se sent « dans le monde », sur le bien-être et le mieux-vivre ensemble.

Oui. Si l’annulation intervient plus de 7 jours avant le début du stage, les droits d’inscription seront remboursés, diminués de frais administratifs d’un montant de 15 euros. Moins de 7 jours avant le début du stage, vous ne serez pas remboursé mais vous serez invité.e à reporter votre inscription sur un autre module.

Oui, via la plateforme HelloAsso qui permet le paiement en ligne par carte bancaire.

C’est un stage présentiel dans un endroit propice au détachement. Afin de se ressourcer et de renouveler son style d’écriture et/ou d’accompagnement. Une approche plus sensorielle grâce à des activités qui mêlent le bien-être du corps et la pratique narrative et poétique.

Savoir lire, écrire, disposer d’une connexion à internet. Et respecter les éventuels prérequis propres aux différents niveaux de formation (précisés dans la rubrique « Prochaines formations / Quelle formation choisir ? »)

Oui. Vous pourrez écrire votre kasàlà dans votre langue natale, et en proposer une traduction orale au groupe.

Oui, en respectant les éventuels prérequis en fonction des niveaux de formation (précisés dans la rubrique « quelle formation choisir » du menu « prochaines formations ».

Après vous être assuré de sa disponibilité le jour de la formation, et que la personne dispose de l’équipement et de la connexion nécessaires, procédez à l’inscription et au règlement via la plateforme HelloAsso. Puis indiquez-nous par courriel pour qui vous l’avez souscrite en précisant l’adresse mail de la personne, afin que nous puissions lui envoyer le lien de connexion la veille du stage s’il s’agit d’un stage en ligne.

Exposez-nous votre situation par courriel à l’adresse . Si nous avons besoin de plus d’éléments pour vous répondre, nous pourrons convenir d’un rendez-vous téléphonique pour faire le point de votre situation.