Un des exercices traditionnels en kasàlà contemporain est d’écrire le kasàlà du kasàlà. En voici un exemple.
Bon à savoir : les rimes ne sont pas obligatoires. La forme du kasàlà contemporain est assez libre. Son caractère poétique passe le plus souvent par l’usage de métaphores par exemple.
Tu es entré dans ma vie par hasard
En tout cas je l’ai cru
Un mot d’abord
Qui sonne exotique
Qui sonne Afrique
Kasàlà
Curiosité piquée
J’ai cherché
Un nouveau territoire
S’offrait à mes pieds
Qui voulaient en changer
Prisonnière d’une entreprise
Tenant l’homme dans ses murs
Mais pas dans ses projets
Je voulais m’évader
Retourner aux confins
De la terre et du temps
Quérir les sagesses
Les magies, les onguents
Pour rendre à l’homme blessé
Par ces institutions
Amnésiques et mauvaises
Sa noble condition
J’ai ratissé la terre
Dans les pages des livres
Empli mon escarcelle
Pratiques ancestrales, rituelles
Contes, transes, narratives
Us des nations premières
Mais il manquait ta voix
Ô noble Kasàlà
Et la fougue qui t’anime
J’ai parcouru le livre
De Jean Kabuta
Ô merveille !
Communié au cercle
que m’a ouvert Danielle Monette
Grâce à Internet
J’ai traîné mes oreilles
Et mes pas vagabonds
Dans ce qui s’est offert
Confidences, kasàlàs,
et chansons
Je t’ai rencontré
Nous avons fait connaissance
Tu as coulé dans mon coeur
Dans mes veines, dans mon stylo
J’ai senti ton souffle, ta verve, ton culot :
Faire de la poésie, sans règles, sans limites
Mais alors qui es tu ?
Je crois que je le sais
Tu tatoues les âmes
Tu caresses,
tu redresses
Tu rends digne
Portée par ton ivresse
La chair se fait verbe
Puis se gonfle et s’anime
Intention habillée, parée
De ses plus beaux atours
Voilà qui tu es
Inspiration divine dans la bouche de l’homme
Et moi, qui me fais-tu ?
Marie-France
Guerrière de la paix
Tu seras ma monture
Mon cri
Et mes hauts faits
Ave
Ô Kasàlà
Un des exercices traditionnels en kasàlà contemporain est d’écrire le kasàlà du kasàlà. En voici un exemple.
Bon à savoir : les rimes ne sont pas obligatoires. La forme du kasàlà contemporain est assez libre. Son caractère poétique passe le plus souvent par l’usage de métaphores par exemple.
Tu es entré dans ma vie par hasard
En tout cas je l’ai cru
Un mot d’abord
Qui sonne exotique
Qui sonne Afrique
Kasàlà
Curiosité piquée
J’ai cherché
Un nouveau territoire
S’offrait à mes pieds
Qui voulaient en changer
Prisonnière d’une entreprise
Tenant l’homme dans ses murs
Mais pas dans ses projets
Je voulais m’évader
Retourner aux confins
De la terre et du temps
Quérir les sagesses
Les magies, les onguents
Pour rendre à l’homme blessé
Par ces institutions
Amnésiques et mauvaises
Sa noble condition
J’ai ratissé la terre
Dans les pages des livres
Empli mon escarcelle
Pratiques ancestrales, rituelles
Contes, transes, narratives
Us des nations premières
Mais il manquait ta voix
Ô noble Kasàlà
Et la fougue qui t’anime
J’ai parcouru le livre
De Jean Kabuta
Ô merveille !
Communié au cercle
que m’a ouvert Danielle Monette
Grâce à Internet
J’ai traîné mes oreilles
Et mes pas vagabonds
Dans ce qui s’est offert
Confidences, kasàlàs,
et chansons
Je t’ai rencontré
Nous avons fait connaissance
Tu as coulé dans mon coeur
Dans mes veines, dans mon stylo
J’ai senti ton souffle, ta verve, ton culot :
Faire de la poésie, sans règles, sans limites
Mais alors qui es tu ?
Je crois que je le sais
Tu tatoues les âmes
Tu caresses,
tu redresses
Tu rends digne
Portée par ton ivresse
La chair se fait verbe
Puis se gonfle et s’anime
Intention habillée, parée
De ses plus beaux atours
Voilà qui tu es
Inspiration divine dans la bouche de l’homme
Et moi, qui me fais-tu ?
Marie-France
Guerrière de la paix
Tu seras ma monture
Mon cri
Et mes hauts faits
Ave
Ô Kasàlà
Un des exercices traditionnels en kasàlà contemporain est d’écrire le kasàlà du kasàlà. En voici un exemple.
Bon à savoir : les rimes ne sont pas obligatoires. La forme du kasàlà contemporain est assez libre. Son caractère poétique passe le plus souvent par l’usage de métaphores par exemple.
Tu es entré dans ma vie par hasard
En tout cas je l’ai cru
Un mot d’abord
Qui sonne exotique
Qui sonne Afrique
Kasàlà
Curiosité piquée
J’ai cherché
Un nouveau territoire
S’offrait à mes pieds
Qui voulaient en changer
Prisonnière d’une entreprise
Tenant l’homme dans ses murs
Mais pas dans ses projets
Je voulais m’évader
Retourner aux confins
De la terre et du temps
Quérir les sagesses
Les magies, les onguents
Pour rendre à l’homme blessé
Par ces institutions
Amnésiques et mauvaises
Sa noble condition
J’ai ratissé la terre
Dans les pages des livres
Empli mon escarcelle
Pratiques ancestrales, rituelles
Contes, transes, narratives
Us des nations premières
Mais il manquait ta voix
Ô noble Kasàlà
Et la fougue qui t’anime
J’ai parcouru le livre
De Jean Kabuta
Ô merveille !
Communié au cercle
que m’a ouvert Danielle Monette
Grâce à Internet
J’ai traîné mes oreilles
Et mes pas vagabonds
Dans ce qui s’est offert
Confidences, kasàlàs,
et chansons
Je t’ai rencontré
Nous avons fait connaissance
Tu as coulé dans mon coeur
Dans mes veines, dans mon stylo
J’ai senti ton souffle, ta verve, ton culot :
Faire de la poésie, sans règles, sans limites
Mais alors qui es tu ?
Je crois que je le sais
Tu tatoues les âmes
Tu caresses,
tu redresses
Tu rends digne
Portée par ton ivresse
La chair se fait verbe
Puis se gonfle et s’anime
Intention habillée, parée
De ses plus beaux atours
Voilà qui tu es
Inspiration divine dans la bouche de l’homme
Et moi, qui me fais-tu ?
Marie-France
Guerrière de la paix
Tu seras ma monture
Mon cri
Et mes hauts faits
Ave
Ô Kasàlà
Un des exercices traditionnels en kasàlà contemporain est d’écrire le kasàlà du kasàlà. En voici un exemple.
Bon à savoir : les rimes ne sont pas obligatoires. La forme du kasàlà contemporain est assez libre. Son caractère poétique passe le plus souvent par l’usage de métaphores par exemple.
Tu es entré dans ma vie par hasard
En tout cas je l’ai cru
Un mot d’abord
Qui sonne exotique
Qui sonne Afrique
Kasàlà
Curiosité piquée
J’ai cherché
Un nouveau territoire
S’offrait à mes pieds
Qui voulaient en changer
Prisonnière d’une entreprise
Tenant l’homme dans ses murs
Mais pas dans ses projets
Je voulais m’évader
Retourner aux confins
De la terre et du temps
Quérir les sagesses
Les magies, les onguents
Pour rendre à l’homme blessé
Par ces institutions
Amnésiques et mauvaises
Sa noble condition
J’ai ratissé la terre
Dans les pages des livres
Empli mon escarcelle
Pratiques ancestrales, rituelles
Contes, transes, narratives
Us des nations premières
Mais il manquait ta voix
Ô noble Kasàlà
Et la fougue qui t’anime
J’ai parcouru le livre
De Jean Kabuta
Ô merveille !
Communié au cercle
que m’a ouvert Danielle Monette
Grâce à Internet
J’ai traîné mes oreilles
Et mes pas vagabonds
Dans ce qui s’est offert
Confidences, kasàlàs,
et chansons
Je t’ai rencontré
Nous avons fait connaissance
Tu as coulé dans mon coeur
Dans mes veines, dans mon stylo
J’ai senti ton souffle, ta verve, ton culot :
Faire de la poésie, sans règles, sans limites
Mais alors qui es tu ?
Je crois que je le sais
Tu tatoues les âmes
Tu caresses,
tu redresses
Tu rends digne
Portée par ton ivresse
La chair se fait verbe
Puis se gonfle et s’anime
Intention habillée, parée
De ses plus beaux atours
Voilà qui tu es
Inspiration divine dans la bouche de l’homme
Et moi, qui me fais-tu ?
Marie-France
Guerrière de la paix
Tu seras ma monture
Mon cri
Et mes hauts faits
Ave
Ô Kasàlà